On ne peut nier le dur impact de l'industrie de la mode sur la planète entre les déchets textiles et la pollution. Chez Lindsay Nicholas New York, nous sommes loin d'être parfaits. Nous reconnaissons que l'industrie dans son ensemble doit faire mieux, y compris nous-mêmes. Voici quelques-uns des efforts que nous avons déployés jusqu'à présent pour rendre Lindsay Nicholas New York aussi gentille que possible avec la planète :

Lors de la conception de vêtements, Lindsay se concentre sur la création de pièces polyvalentes qui transcendent les saisons. Nos pièces sont conçues pour être chéries pendant des années et portées encore et encore, sans jamais perdre leur beauté. Ils vivent en dehors de l'univers tendance de l'industrie de la mode, restant intemporels et élégants saison après saison. Ils ne sont pas destinés à l'enfouissement au bout d'un an, comme la plupart des fast fashion de l'industrie ces jours-ci. Ils sont faits pour être convoités et admirés éternellement.

Nous nous concentrons sur l'utilisation de tissus qui ont un impact minimal sur l'environnement. La soie, la laine et le polyester recyclé sont des incontournables de nos collections, tous des tissus luxueux mais durables qui mettent moins de pression sur la planète que leurs alternatives.

Là où nous le pouvons, sans sacrifier la qualité, nous utilisons des tissus restants pour réduire davantage les déchets créés par l'industrie de la mode.

Dans toute l'Australie, nous expédions avec Australia Post, qui s'efforce également de minimiser son impact sur l'environnement. Ils ont détourné 100 000 tonnes de matériaux des décharges depuis 2018, ont réduit leurs émissions de CO2 de 25 % depuis 2000 et se sont engagés à les réduire de 15 % supplémentaires d'ici 2025. Vous pouvez trouver plus d'informations sur leur plan de développement durable ici .

À l'international, nous expédions avec DHL. Ils ont pour mission d'atteindre zéro émission nette d'ici 2050 et se sont engagés à investir 7 milliards d'euros jusqu'en 2030 pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Vous pouvez en savoir plus sur leurs autres initiatives de développement durable ici.

Nous grandissons et apprenons constamment. Nous espérons poursuivre ces efforts à l'avenir.

Les coulisses de…

« Au Bangladesh, la plupart [des travailleurs du vêtement] gagnent 68 dollars par mois ; ce n'est pas un salaire vital et 98% des travailleurs de l'habillement ne gagnent pas un salaire décent. Ils peuvent trouver toutes les solutions qu'ils veulent, mais ils ont encore trop d'impact sur les gens et la planète… leur modèle est archaïque et dommageable »

Dana Thomas, auteur de Fashionopolis : Le prix de la mode rapide et l'avenir des vêtements sur l'impact du modèle commercial de la mode rapide sur les travailleurs du vêtement.

Dans son livre, Dana Thomas explique que l'industrie de la mode fabrique 100 milliards de nouveaux vêtements chaque année et emploie 1 personne sur 6, mais seulement 2% d'entre eux gagnent un salaire décent. Ce n'est tout simplement pas assez bon.

Chez Lindsay Nicholas New York, nous apprécions et apprécions les personnes talentueuses qui mettent tant

beaucoup de temps et de soin pour créer les vêtements que vous aimez. Nous veillons à ce que chacun de nos travailleurs du vêtement gagne non seulement un salaire qu'il mérite pour son travail acharné, mais soit bien traité et dispose d'un environnement de travail sûr et confortable.

La majorité de nos vêtements sont fabriqués à Melbourne par un fabricant familial, accrédité par The Textile, Clothing and Footwear Union of Australia et Ethical Clothing Australia. Lindsay entretient une relation étroite avec son fabricant et visite fréquemment l'usine.

Nous sommes si fiers de faire également partie d'une initiative visant à transformer la vie des femmes du Tamil Nadu, dans le sud de l'Inde. Notre fabricant de pulls en tricot éduque les femmes à l'art du tricot à la main et les emploie à 20 % de plus que le salaire minimum de l'industrie.